C’est trop, s’écrie Hector, c’est trop nous attendrir ; adieu chere Andromaque, il faut vous secourir ; adieu, je vais tenter la fortune des armes ; qu’un généreux espoir dissipe vos allarmes.
C’est trop, s’écrie Hector, c’est trop nous attendrir ; adieu chere Andromaque, il faut vous secourir ; adieu, je vais tenter la fortune des armes ; qu’un généreux espoir dissipe vos allarmes.