Ce merveilleux d’un fort grand caractère en fournit ensuite un second d’une moindre espèce, à savoir : la magie. […] On doit sentir dans ces orages une puissance, forte seulement pour détruire ; on y doit trouver cette incohérence, ce désordre, cette sorte d’énergie du mal, qui a quelque chose de disproportionné et de gigantesque, comme le chaos dont elle tire son origine.