Il embouche aussi les souffles de la trompette, ce qui est encore de l’Hercule en fait de musique ; car emboucher des souffles, c’est bien fort. […] On dirait qu’au lieu d’être un pamphlétaire convaincu, sincère et fort, Cormenin-Timon n’était qu’un rhétoricien qui, dans ses Orateurs, a passé tout son temps à professer la rhétorique.