Quoique le sang des hommes n’ait pas toujours été fort respecté, nous concevons pourtant qu’il y ait eu des pays où on l’a honoré de quelques larmes ; on conçoit un peu moins les éloges prodigués aux athlètes ; nous savons cependant que les vainqueurs des jeux étaient célébrés par des chants publics. […] Une force unique et terrible, distribuant au hasard les dangers, égale le fort au faible, et le courageux au lâche ; l’art même plus perfectionné décide presque toujours la victoire par les postes : le génie d’un homme rend inutiles les bras de cent mille hommes.