Je me rappelle encore un fort beau dessin qui appartient à la même classe : La Liberté de la Presse. […] Il faut qu’il soit bien décidé ; ses bras sont tranquillement croisés ; un fort gros pavé est attaché à son cou avec une corde. […] Je me rappelle qu’un poëte lyrique et païen de mes amis en était fort indigné. […] Il a gravé lui-même à l’eau-forte, pour la collection des Chansons populaires de la France et pour les almanachs comiques d’Aubert, de fort beaux dessins, ou plutôt des croquis, où règne la plus folle et la plus innocente gaieté. […] En dehors de ses peintures et de ses gravures à l’eau-forte, où il s’est montré toujours grave et poétique, il a fait de fort bons dessins grotesques, où l’idée d’ordinaire se projette bien et d’emblée.