Les poètes de ce temps cachaient le plus souvent leur véritable nom, ou ne l’indiquaient que dans quelque endroit de leurs ouvrages, par des espèces d’acrostiches ; c’est-à-dire, par les lettres initiales d’un certain nombre de vers, lesquelles répondaient à celles dont était formé leur nom, ou un autre que souvent ils adoptaient et qui pouvait les faire connaître.