Les vaches, les taureaux, les moutons, et même les porcs, ont en Angleterre le corsage bien mieux formé qu’ils ne l’ont en Italie et en Gréce. […] L’idée de la belle nature que les anciens s’étoient formée sur certains arbres et sur certains animaux, en prenant pour modeles les arbres et les animaux de la Gréce et de l’Italie, cette idée, dis-je, n’approche pas de ce que la nature produit en ce genre-là dans d’autres contrées.