continue ainsi son Panégyrique : Quand les Chansons d’Horace amusoient ton enfance, Tu joignois, dans son Art, la force à l’élégance, Et défiois Lucrece, Empédocle, Aratus. […] On trouve dans ses énormes Epîtres des morceaux pleins de force, d’élégance, de vivacité ; en sorte qu’en corrigeant ses Productions, & les réduisant à une juste étendue, il pourroit peut-être les relever du discrédit où elles sont tombées.