La première loi, c’est que l’attention diminue la force des représentations dont elle se détourne. […] Or, l’actualité de la sensation est celle d’une force subie, d’une passivité actuelle, autrement dit d’une activité actuellement modifiée. […] Elle est alors la science en action, où la force des idées devient manifeste. […] Le cerveau du savant, habitué à refléter la nature, devient vraiment un petit monde, un microcosme, où les forces des idées tendent à s’associer et à se combiner de la même manière que les forces des objets dans le Cosmos. […] Les idées sont donc, en définitive, de la force emmagasinée qui se dépense avec la plus grande économie possible.