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554. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Bussy-Rabutin. » pp. 360-383

Maintenant reconnaissons dans Bussy une qualité : il a du glorieux, du vaniteux, du goguenard et du railleur, du bel esprit et du malin esprit, mais au fond, tout au fond de tout cela, si l’on ose le dire, il y a du bon esprit. […] Sans nous en prévaloir pour ce qui est du fond des âmes, il nous faut ici reconnaître que nous avons infiniment gagne depuis lors en moralité sociale et publique, en moralité extérieure. […] Pour ce qui est de l’écrit qui nous les suggère, cette délicatesse, encore une fois, n’est que dans la façon du narrateur et dans un certain tour de parole ; car la grossièreté fait le fond de presque tous les personnages qu’il décrit. […] Trouvant son nom placé par Boileau au bout d’un vers et dans un sens un peu équivoque, lui, si chatouilleux et médiocrement flatté au fond, il n’eut pas l’air de s’en formaliserf.

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