Or, en pays germain, la foi nouvelle ne pénétra que fort tard — première différence. […] Les pays Scandinaves persistent jusqu’au douzième siècle dans la foi ancestrale. […] Je veux dire la robustesse et l’énergie, le sérieux et la foi, la naïveté et l’instinctivité. […] Or qu’est-ce que la vie sans une foi positive, expansive et agissante ? […] Contre cette meule déchaînée, le réformateur n’aurait que sa sincérité, sa foi et sa science, pauvres armes.