il y a, dans ces deux volumes sur le Christianisme en Chine, assez de sublimités dépensées par le génie et la foi de la Chrétienté pour réussir vingt fois dans la conversion de ces masses d’hommes qu’elle s’est proposée, et jamais pourtant la réussite n’a été possible. […] L’ardeur, le dévouement, la foi, la science même, voilà ce qui, de leur côté, est resté éternel et splendide.