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342. (1904) Les œuvres et les hommes. Romanciers d’hier et d’avant-hier. XIX « Gustave Droz » pp. 189-211

il en a fait, à la fin de son livre, un saint martyr, — martyrisé pour la foi. […] Il est noble enfin comme un prêtre, — plein de foi, de piété, de dévouement. […] Et, calomnié auprès de son évêque, il se laisse frapper injustement sans se plaindre et sans se défendre, et s’en va mourir martyr en Chine, victime de sa probité inflexible, de son repentir et de sa foi.

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