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266. (1890) L’avenir de la science « Préface »

J’éprouvai le besoin de résumer la foi nouvelle qui avait remplacé chez moi le catholicisme ruiné. […] On y trouve également enraciné un vieux reste de catholicisme, l’idée qu’on reverra des âges de foi, où régnera une religion obligatoire et universelle, comme cela eut lieu dans la première moitié du Moyen Âge. […] L’homme formé selon ces disciplines vaut mieux en définitive que l’homme instinctif des âges de foi.

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