Chénier n’en invoque pas d’autre ; il en reçoit les moindres articles comme autant d’articles de foi. […] Quand elles auront brisé le joug de la foi, qui ne sera plus pour elles que le joug de la superstition, respecteront-elles davantage celui des lois ? […] Pour la première fois, l’humanité a entrepris une grande et terrible expérience ; la lutte est libre entre le bien et le mal, entre l’erreur et la vérité : expérience insensée, si ceux qui la tentent n’avaient pas une foi profonde dans l’ascendant victorieux du bien sur le mal, de la vérité sur l’erreur ! […] Une ère nouvelle commence ; je suis de ceux qui ont foi dans l’avenir ! […] Sa foi politique, il l’a fait passer en lui ; mais quel n’est pas son étonnement, quand il voit que la foi politique de son Maximilien est ébranlée.