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998. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre troisième »

Elles sont aussi accessibles qu’aimables ; elles nous parlent de ce que tous les jours le soleil vient éclairer, des montagnes, des fleurs, des plantes, des animaux, de l’homme dans son commerce avec la nature. […] Quand nous pensons au travail de l’abeille, nous avons d’abord l’idée d’un choix fait, parmi toutes les fleurs, de celles qui donnent le miel ; puis l’idée d’un travail dont le profit est pour les autres. […] Comme l’abeille, Rollin va droit aux plus belles fleurs de l’art.

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