On a là l’idéal de l’imagination de Fontenelle, les fleurs de son printemps ; et quel printemps ! […] Il ne devine pas qu’il a pu y avoir autrefois, à un certain âge du monde, sous un certain climat, et dans des conditions de nature et de société qui ne se retrouveront plus, une race heureuse qui s’est épanouie dans sa fleur, et que nous pouvons, nous autres modernes, surpasser en tout, excepté en ce premier développement délicat, en ce premier charme divin.