Une fois qu’on a saisi la faculté maîtresse, on voit l’artiste tout entier se développer comme une fleur. […] Ce n’est pas une fleur de courtoisie, mais je le garantis aussi doux que l’agneau. — Va ton chemin, fillette. […] Ici la folie est dans toute sa fleur. […] » ce mot de Cymbeline peint ces frêles et aimables fleurs qui ne peuvent s’arracher de l’arbre auquel elles sont unies, et dont la moindre impureté ternirait la blancheur. […] La fleur magique le change à son tour : c’est maintenant Héléna qu’il aime.