Une trentaine de jeunes filles, dont les vêtements ressemblent à de grandes fleurs, accourent affolées. […] Kundry apparaît demi-couchée sur un lit de fleurs. […] Nous sommes dans un paysage printanier, au milieu d’une prairie parsemée des premières fleurs, à la lisière d’une forêt ombreuse, d’où s’échappe une source claire. […] Mais Gurnémanz lui répond : « Ce sont les larmes du repentir qui couvrent la pelouse, et sous cette rosée, l’herbe et la fleur relèvent la tête. […] Le maître allemand a donc créé une intégration supérieure d’éléments jusque là disconnexes, à la manière dont des feuilles alliées et modifiées constituent une fleur.