La solitude champêtre où j’ai passé la fleur de ma jeunesse, l’étude des bons livres… me rendirent dévot presque à la manière de Fénélon. […] Le théâtre est l’extrême fleur de la civilisation. […] Tout ce que je retiendrai de son récit, c’est qu’il a conçu Julie au printemps, parmi les fleurs et les arbres, pendant des mois de rêverie et d’exaltation sentimentale, et que c’est avant tout son propre roman qu’il a rêvé. […] Cependant cette propreté ne dégénère pas en vaine affectation ni en mollesse… Jamais il n’entra dans son appartement que de l’eau simple ; elle ne connaît d’autres parfums que celui des fleurs ; et jamais son mari n’en respirera de plus doux que son haleine.