Je ne saurais mieux finir que par ces paroles qui sont presque les dernières du livre : « Mon Dieu ! […] La guerre vient de finir, le territoire est encore envahi. […] Ils finissent par vous paraître plus sensés que vous ne l’êtes vous-même ! […] Il revient tous les jours les tourmenter à une heure fixe, et les prépare ainsi à l’atroce agonie où ils doivent tous également finir, comme le sommeil nous rendort tous les soirs pour nous habituer à la mort. […] Vitu n’eut garde de contester cette jouissance, Houssaye finit par accrocher un tableau (qui lui appartenait aussi) à son clou, puis on se quitta.