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606. (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 8 février 1885. »

Ils entremêlent leurs poèmes d’intermèdes oiseux ; ils enguirlandent leur drame de tant de cavatines, de romances et de chœurs sans raison qu’ils finissent par l’étouffer. […] » Pour finir, cette prophétie si bien accomplie : « De toute cette fantasmagorie que restera-t-il après trois jours ? […] En fait d’émotion dramatique, cela ne donne que mal à la tête, en fait d’intérêt, cela fait désirer que le spectacle soit fini le plus tôt possible. […] Audret, plutôt que de me montrer cette chose, tu aurais dû me cacher qu’elle fût possible. » Nous voici revenus au drame wagnérien ; mais dans le roman l’histoire ne finit pas si promptement.

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