Il y a quatre ou cinq grandes lignes pour diviser les époques ; il y a une dizaine de grands noms qui se dressent isolément comme des poteaux indicateurs ; tout le reste est un grouillement confus, monotone, bien que l’auteur essaie d’entasser ses couleurs ; c’est toujours du vert et du rouge, du rouge et du vert, et on finit par ne plus voir ni le rouge ni le vert. […] Il finissait par vous laisser entendre ceci : « Vous savez, c’est mon ami Hayashi qui m’a donné des notes sur l’art japonais. […] Comme le public imagine toujours le contraire de la réalité, M. de Goncourt et Alphonse Daudet passaient auprès de lui pour des amis intimes ; et il avait fini par le leur faire croire. […] La collaboration de Jules, qui seule donnait quelque prix à ses livres, avait fini par lui faire illusion et le gêner.