Zola, toute cette cochonnaille, qu’il nous étale et dont il nous repaît, et dont il finit par nous donner le mal au cœur, c’est de l’art. […] Zola, et dont il finit toujours par faire une malpropreté. […] mais « un homme d’étude et d’art », et qu’il fallait attendre, pour le juger, que son œuvre fût finie. Comme si on ne pouvait pas lui rétorquer l’argument et lui dire : Et vous, si vous ne voulez pas qu’on vous juge, il fallait attendre que votre œuvre fût finie avant de la publier ! […] Le dialogue fini, le romancier reprenait son récit et sa page, y versant son style et sa pensée.