Enfin, à force de se vanter chacun à qui mieux mieux, les deux rivaux finissent par s’insulter, et le soufflet échappe. […] Quand il a fini, elle plaide au long contre lui devant lui-même : « Je ne t’accuse point, je pleure mes malheurs… Je me dois, par ta mort, montrer digne de toi… » Lui-même il accepte son arrêt, il se met à genoux et lui tend la tête.