Dans l’Hécyre de Térence, il n’y a qu’un personnage qui fasse rire, & même il ne paroît qu’à la fin ; tous les autres excitent des larmes : on en répand aussi à la comédie de l’Andrienne. […] Destouches est fin & noble ; Dancourt fécond, léger, excellent pour le dialogue ; Le Grand naturel & très-agréable ; Dufresni vif, enjoué, saillant. […] Quelle critique fine dans nos parodies ! […] Il prétend que, s’ils consultent leur cœur à la fin d’une tragédie, ils tomberont d’accord de ce qu’il avance. […] On dirigera l’amour vers une fin honnête, lorsqu’on montrera « dans des exemples illustres, ses fureurs & ses foiblesses, pour nous en défendre ou nous en guérir ».