À la fin, il cède à l’amour que lui avait inspiré Respha, jeune concubine de Saül, et il l’épouse. […] Cette prosodie de la consonance de deux pensées se répondant, comme deux voix, du commencement du vers et à la fin de la strophe, avait sans doute été inspirée aux premiers poètes ou prophètes hébreux par la nature de leur contrée. […] … « Il est temps », dit-il lui-même à la fin de ces interminables digressions qui semblent l’éloigner de sa route, « il est temps que mes mains cessent de lancer ces poignées de flèches qui volent loin du but que je veux atteindre !