L’archevêque de Salzbourg marchande le père et le fils aux appointements de 500 francs par an ; Wolfgang part sur ces offres pour l’Allemagne : ses concerts lui payent son voyage. « J’ai encaissé hier à Strasbourg trois louis ! […] Ces Mémoires sont de vrais préludes de Don Juan, dans la jeunesse dissipée et voluptueuse d’un fils des Lagunes. […] Léopold Mozart était venu visiter son fils à Vienne sur la fin de l’année 1785. […] « Comme son cœur avait besoin de se soulager, je pensai que c’était le moment de lui parler de ses deux fils perdus pendant mon absence. […] ” Nous pleurâmes ensemble, lui ses fils, moi mes frères ; je parvins à le consoler en lui promettant qu’avant de partir de Cénéda je lui ferais voir une chose qui compenserait un peu les pertes de famille que nous avions faites (sa jeune femme).