Mais elle n’ose critiquer l’enthousiasme de son fils pour Marat et pour Robespierre ; elle reconnaît que c’est un bon fils, d’un naturel affectueux et doux. […] Il ne souhaitait pas pour ses fils des chaires dans les universités. […] Lui qui était un fils égoïste et léger, il s’impose comme réparation d’entourer sa mère de soins et de prévenances. […] Son père exige qu’il épouse la jeune princesse Isabelle et ne le reconnaît pour son fils qu’à cette condition. […] Il montre le repas du soir, le maître entouré de ses fils, de ses brus et de ses serviteurs.