Matteo Falcone exécute son propre fils d’un coup de fusil. […] Il possède, à son service, le temps nécessaire à ces préparations dont Dumas fils disait qu’elles sont la moitié de l’art du théâtre. […] Mais dites un mot seulement, et mon fils sera guéri, — car, moi aussi, je suis un homme qui obéit et à qui l’on obéit. […] Sans doute aussi une autre influence, celle de son fils et de la « camarilla » pangermaniste pressait sur lui. […] C’est celui du fils qui se ruine pour payer les dettes de son père.