Mais ces citadins d’Yeddo, ces boutiquiers, ces écrivains à l’encre de Chine, ces artisans étiolés de père en fils par la production de ces petites merveilles de patience qu’on admire chez nous, quelle misère physique ! […] Je m’arrête, et je termine par cette citation d’un mot charmant de vérité d’une mère qui raconte l’enfance de son fils : « Quand mon fils a commencé à marcher seul, dit-elle, j’ai senti qu’il se détachait de moi. » Et voilà la véritable femme pour vous, celle qui sait trouver le temps de faire de semblables observations, veiller à sa maison, et rester femme du monde. […] Et, comme tout est imprévu dans la vie, pendant que le fils congédie volontairement Gabie, le père trouve en la comédienne du souper une belle-mère pour son fils. […] Bien des fois, il avait fait des remontrances à son fils, mais celui-ci avait des raisons pour ne pas me quitter. […] je voterai pour son fils). » — « Mais son fils est mort aussi. » — « Soun doun tous morts !