Cervantes n’en eut point d’enfants ; mais il éleva et garda près de lui une fille naturelle qu’il avait eue, en Portugal, d’une dame de Lisbonne. […] Il dut, pour soutenir sa famille composée de sa femme, de ses deux sœurs à sa charge et de sa fille naturelle, s’occuper d’avoir un emploi. […] Honneur avant tout aux génies inventeurs et féconds, à ceux qui ont réellement enfanté, qui ont augmenté d’un fils ou d’une fille de plus la famille poétique du genre humain !