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461. (1856) Cours familier de littérature. I « VIe entretien. Suite du poème et du drame de Sacountala » pp. 401-474

Ma fille ! […] Fille adorable du roi de Vidéha, pour la dernière, oui, pour la dernière fois, que tes pieds charmants servent d’oreiller à la tête de Rama !  […] Ses lamentations sur le sort de sa fille ont autant de douleur et plus de piété que celles de Priam ou d’Hécube dans les tragédies grecques : « Le chagrin, comme une scie aux dents aiguës, déchire sans cesse mon cœur. Toutes les fois que je pense à ma fille, mes douleurs se renouvellent : c’est comme un fleuve toujours plein, dont la source ne tarit point. […] Fille du sacrifice, quel est aujourd’hui ton triste partage !

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