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444. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Madame Necker. » pp. 240-263

 » Dans ses Mémoires il s’étend avec plus de détail, et il nous fait de Mlle Curchod le portrait le plus flatteur et le plus fidèle à cette date : Son père, dit-il, dans la solitude d’un village isolé, s’appliqua à donner une éducation libérale et même savante à sa fille unique. […] La fille de Mme Necker, celle qui allait être la célèbre Mme de Staël, grandissait déjà et lui échappait. […] Necker, dans les intervalles de ses graves affaires, s’égayait de ces saillies de sa fille, et se plaisait à les exciter. […] Quant à sa fille, bien que Mme Necker l’admirât, elle l’eût voulue certainement tout autre, et il serait difficile de suivre en elle l’influence de sa mère.

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