Elle lui raconte ses peines ; l’histoire est naïve autant que pathétique : « Je suis Isabelle, fille de l’infortuné roi de Gallicie, ou plutôt je fus fille de ce roi, car je ne suis plus maintenant que fille de la douleur, de l’infortune et des larmes ! […] C’est Angélique, l’amante ingrate de Roland, la superbe fille du roi des Indes. […] Je suivis Léna et Thérésina comme si j’avais fait partie de la maison, sans savoir au juste si la magie qui m’entraînait résidait pour moi dans la mère ou dans la fille. […] Était-ce la mère, était-ce la fille dont j’allais regretter le plus douloureusement la présence et promener le plus loin l’image ? […] et plus réels, de la comtesse Léna et de sa fille.