Il lui sied bien, à ce vil Poirier, de reprocher à son gendre la dot de sa fille ! […] la marquise de tout à l’heure ne serait-elle que la demoiselle Poirier, la fille de son père ? […] Cet homme heureux a une fille, une fille à marier, qui se présente à ses prétendants avec un demi-million dans chaque main. […] Il s’accuse du malheur de sa fille, obligée de renoncer à celui qu’elle aime. […] Le bourreau a beau se retirer à la campagne, comme un bon bourgeois, dans une jolie maison à contrevents verts, sa fille n’en reste pas moins la fille du bourreau… un vilain parti.