Je ne parle pas des toiles exposées de d’Espagat (citons pourtant son étude de Petite fille), Lemsohn, Guillotu, Colin, Vuillard, Roussel, Sérusier, Zuloaga, elles n’ajoutent ni ne retirent à ce qu’on a vu d’eux. […] Aux pommettes de la petite fille pendent mortes, tenaille, deux mains de gloire : à leur paume de ventouse, le reflux de l’épiderme est bu, et l’attention hulule des deux yeux subits d’effroi presque, ronds boucliers. […] Et il y a une très belle scène, qui est la scène capitale de cette seconde partie, et la lutte de la vierge mystique et de la fille qui a des sens.