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1069. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [1] Rapport pp. -218

Le conte du bon vieux temps n’a souci que de s’empiffrer de victuailles et de boissons, non point acquises par travail, mais gagnées par piperie, de trousser des robes de filles, de femmes, ou de moines. […] Ils courent sus, ces géants, aux belles filles grasses, dont les cuisses valent des gigots d’agnelles ou bien de truies ; mais ils les accolent comme ils embrasseraient un muid, ils leur baisent la bouche comme ils humeraient le piot. […] Même elle n’hérita point directement : elle dut attendre comme une petite fille ou se contenter de peu comme une collatérale ; l’Italie lui transmettait des legs non sans un air de lui faire l’aumône. […] Mallarmé nous reçut dans une petite maison rose, derrière des arbres, où il habitait avec sa femme et sa fille. […] Jean Lorrain a fait représenter, j’écrivais, il n’y a pas longtemps : « Lorsque Çakia-Mouni fut tenté, au Jardin des Bambous, par les soixante filles de Pipâ, chacune d’elles voulut le séduire d’un charme différent.

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