Dès que la politique est en jeu, on n’est plus sincère, fût-on Marie-Thérèse écrivant à sa fille. […] L’impératrice, de prime abord, a fait appel avec énergie à tous les sentiments de sa fille : « Le 1er février 1778. […] « Madame ma chère fille, c’est à cinq heures du matin et bien à la hâte, le courrier étant à ma porte, que je vous écris. […] On comprend très bien, en lisant les lettres de Marie-Thérèse à sa fille, comment elle fut amenée à cette démarche pacifique auprès de Frédéric, et aussi combien de telles avances durent coûter à la noble fille des Habsbourg. […] Ma chère fille !