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576. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Procès de Jeanne d’arc, publiés pour la première fois par M. J. Quicherat. (6 vol. in-8º.) » pp. 399-420

De quelque point de vue qu’on le prenne, et même en se tenant en garde contre toute exaltation, quelle plus touchante figure en effet, quelle plus digne de pitié et d’admiration que celle de Jeanne ! […] Qu’on ne se figure pourtant pas une vierge trop douce ni trop compatissante. […] Je ne dis point ceci pour rien ôter à la beauté de la figure, mais pour ne pas en dissimuler la physionomie première dans ce qu’elle avait de vigoureux et de très franc.

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