Je ne verrai jamais, pour mon compte, un calcul de conduite dans l’éloge que fait Montesquieu du christianisme, et je ne me mettrai pas sous le feu des piquantes railleries que se sont justement attirées, dans la Défense de l’Esprit des lois, certains dévots du temps. […] C’est au contraire le propre des vérités qui brillent dans ce livre, comme le feu toujours allumé sur l’autel de Vesta, d’avoir été pour quelque chose dans tous les biens de l’ordre civil dont nous jouissons.