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420. (1880) Goethe et Diderot « Note : entretiens de Goethe et d’Eckermann Traduits par M. J.-N. Charles »

A table, en voiture, au coin du feu, sous les lilas, en feuilletant sa collection de gravures, Gœthe était critique, et critique en exercice perpétuel. […] Pour deux ou trois explications qu’il donne à Eckermann sur le loisir de sa pose quand l’Allemagne, levée contre la France qui l’envahissait, était en feu, pour la plainte vulgaire que tout homme attaqué exhale contre ceux qui l’attaquent, M. 

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