Bref, il en est de l’histoire comme de la géographie : sur certaines parties de la terre, on possède des documents assez complets et assez bien classés, dans des publications maniables, pour que l’on puisse en raisonner utilement, au coin du feu, sans se déranger ; tandis que la moindre monographie d’une région inexplorée ou mal explorée suppose une exertion de forces physiques et une dépense de temps considérables.