Pflüger explique comment, à l’époque de l’incanheadence terrestre, il a pu se former du cyanogène, et il montre toujours le feu comme la force qui a produit par synthèse les constituants de la molécule d’albumine. D’où il conclut que la source de la vie est le feu et que les conditions de la vie ont été satisfaites précisément à l’époque où la terre était incanheadente : Das Leben entstamml also dem Feuer. […] Par un singulier rapprochement, on pourrait dire que ces quatre conditions indispensables à l’exercice de l’irritabilité, à la vie, sont précisément les quatre éléments que les anciens considéraient comme formant le monde : l’eau, l’air, le feu (chaleur), la terre (substances chimiques, nutritives ou salines), que l’être vivant rencontre dans le milieu ambiant.