Écrire l’histoire des Jésuites, c’est bondir au milieu du feu, et c’est jusqu’à cette histoire que Paul Féval, pour son début d’historien, a bondi… « Mon premier bond, — disait lord Byron, — est celui du tigre. […] Le livre vivant, mouvementé, pétillant de feu par toutes ses facettes, de Paul Féval, ne laissera peut-être dans l’opinion que le sillage d’un livre brillant. […] , il n’a pas pu approcher de sa plume sans que cette plume de soufre prît feu.