Des hommes et des femmes sont debout, ayant des torches. […] Celle que vous, tous, avez trahie, sa femme s’en vient pour la vengeance. » Elle s’approche, calme. […] Puis, en une religieuse exaltation, elle se tourne vers les hommes et les femmes. […] Les femmes se pressent sur le devant de la salle. […] Dans son roman L’ombre s’étend sur la montagne (1907), Rod s’inspire de l’amour de Wagner et de Mathilde pour décrire la passion du violoniste Franz Lysel pour une femme aimée.