L’aimable auteur du Mal et du bien qu’on a dit des femmes a voulu consoler ce dernier tiers, auquel se joint tout ce qu’il y a de lettré en France, et il a publié intégralement, en deux volumes, ses leçons du Collège de France sur le théâtre de Racine. […] , n’a jamais compris ni aimé la femme, qui est inconscience, faiblesse et charme. […] Agrippine n’est pas plus invraisemblable que Catherine de Médicis ou Christine de Suède, qui étaient des femmes bien élevées et de grande tenue. […] Mithridate a l’habitude d’étrangler ses femmes pour s’assurer de leur fidélité. […] Toute cette mythologie fait un singulier mélange avec le raffinement d’esprit et de conscience de la plus troublante des femmes de Racine.