Il chante « la Métamorphose couronnée de fleurs odorantes comme une femme des îles lointaines ». […] Dans la lumière d’une chapelle abandonnée « entra une vieille femme bretonne qui pleurait. […] Le poète écoute, dans la prière désolée de la femme, la grande plainte de toujours. […] Et des pierres blessent le poète ; et des pierres blessent la femme. […] Mais la femme se lamente, dit que leur pitié eut tort et qu’ils auraient dû s’isoler dans leur amour heureux.