Ainsi je n’ai pas parlé de l’amour de Louise pour un avocat nommé Verdelon, lequel la trahit pour épouser une femme que lui donnent encore ces gredins de jésuites ! […] En haut, n’avons-nous pas lu la Religieuse de Diderot, la Femme et le Prêtre de Michelet, le séminaire de Stendhal (dans le Rouge et le Noir), et les pamphlets de Courier sur le mariage des prêtres et les satyriasis qui les dévorent ?