Alors le mari et la femme se couchent, l’on apporte une grande nappe qui couvre tout le lit, et chacun se l’attache au col. […] « On ne voit point ailleurs de femmes si menues. […] Un mari a tué sa femme ; l’amant tue le mari. […] Entre ses mains, les jeunes femmes de Boccace deviennent « les Schéhérazades du Sépulcre ». […] Il demande aux peintres des scènes mélodramatiques ou militaires, des femmes déshabillées et des trompe-l’œil.